Campus universitaire
Le mardi 30 novembre 2021 à 18h dans l’amphi 400 de l’UNC, Jean-François Loisel étudiant au Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche en Education, soutiendra sa thèse en vue de l’obtention du grade de docteur sur le thème de « l’ appropriation des dispositifs info-communicationnels par les enseignants de lycées en Nouvelle-Calédonie ».
Cette thèse est financée par une aide exceptionnelle à la recherche de la province Nord sous la direction de Olivier Galy, maître de conférences STAPS à l’Université de la Nouvelle-Calédonie et du co-encadrement de Pergia Gkouskou-Giannakou, maîtresse de conférences en Sciences de l’Information et de la Communication à l’Université de Clermont Ferrand.
Résumé
Le numérique est de plus en plus présent dans les établissements de Nouvelle-Calédonie dans le but de moderniser l’école sur le volet pédagogique et organisationnel. Dans ce contexte, cette thèse se penche sur la question de l’appropriation des dispositifs info-communicationnels dans les lycées et plus particulièrement dans le corps enseignant calédonien. L’objectif est donc de comprendre comment les enseignants s’approprient les dispositifs info-communicationnels.
Pour répondre à cet objectif, ce travail de thèse comprend trois axes. Premièrement, un regard est porté sur le discours des acteurs institutionnels et des promoteurs de dispositifs. Deuxièmement, il s’agit de mettre en lumière la façon dont les dispositifs techniques info-communicationnels et les enseignants tentent de former un « réseau d’actants ». Troisièmement, un regard est porté sur le travail collectif dans le but de comprendre le rapport entre pratiques info-communicationnelles et éléments organisationnels.
Composition du jury
- Étienne Candel, professeur, Université Paris Descartes
- Marie Despres-Lonnet, professeure, Université Lyon 2
- Olivier Galy, maître de conférences, Université de la Nouvelle-Calédonie
- Pergia Gkouskous-Giannakou, maîtresse de conférences, Université de Clermont-Ferrand
- Akila Nedjar-Guerre, maîtresse de conférences, Université de la Nouvelle-Calédonie
- Laurent Petit, professeur, INSPE Paris
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