Les plantes hyperaccumulatrices de métaux lourds (dont le Nickel, le Manganèse, le Cobalt et bien d’autres), sont des espèces végétales ayant développé la capacité d’extraire les métaux du sol et de les stocker dans leurs parties aériennes à des concentrations très élevées, toxiques pour n’importe quelles autres espèces végétales.
Ces propriétés exceptionnelles permettent d’envisager de nombreuses applications pour ces plantes hypersaccumulatrices, parmi lesquelles la phytoextraction, la phytoremédiation, la revégétalisation ou encore l’écocatalyse. Les travaux menés dans le cadre du programme de recherche « Evometonicks », financé par l’ANR (Agence nationale de la recherche) et menés conjointement par 4 équipes internationales – le CNRS à Gif Sur Yvette, l’Université de la Nouvelle-Calédonie (UNC), l’Institut agronomique calédonien (IAC), et l’Université de Wageningen aux Pays-bas – avaient pour objectif de mieux comprendre au niveau moléculaire et éco-physiologique ces espèces hyperaccumulatrices. Pour cela, plusieurs couples d’espèces européennes et néo-calédoniennes ont été sélectionnés et étudiés et les résultats de ces travaux seront présentés lors du colloque de restitution, le mardi 25/10/16, à l’UNC.
Final restitution symposium of the ANR program « Evometonicks »
Le 25 octobre 2016
Université de la Nouvelle-Calédonie - Salle du conseil, salle de délibération
UNC : Valérie Burtet, Laboratoire insulaire du vivant et de l’environnement (LIVE)
Le 25 octobre 2016
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