Trois doctorants ont vu leur travail salué et récompensé par le jury de l’édition 2017 des doctoriales organisée les 3 et 4 août par l’Université de la Nouvelle-Calédonie (UNC) et l’École doctorale du Pacifique.
La recherche à l’honneur
Pour la 10e année consécutive, l’UNC a organisé des doctoriales sur le campus universitaire. Cette manifestation a pour vocation de permettre aux étudiants en thèse de l’UNC et des instituts de recherche présents sur le territoire et inscrits à l’École doctorale du Pacifique, mais aussi à des étudiants présents localement et inscrits dans des écoles doctorales métropolitaines, de présenter leurs travaux de recherche ainsi que de tisser des liens avec d’autres chercheurs et divers acteurs du monde socio-économique.
Ces doctoriales ont également pour objectif de mettre en valeur la qualité et le dynamisme de la recherche menée en Nouvelle-Calédonie, tant à l’UNC qu’au sein des instituts partenaires, en particulier les connaissances acquises et les compétences développées par ces jeunes chercheurs durant leur cursus, et ceci dans tous les domaines explorés (sciences humaines, géologie, recherche juridique, biologie marine ou terrestre, etc.).
Les lauréats 2017
Le jury des doctoriales 2017 a décerné trois prix remis lors de la clôture de l’événement le 4 août à 16h00. Les lauréats se verront financer la participation à un colloque international de leur discipline.
- Prix de la meilleure présentation orale :
Élodie Calvez (Institut Pasteur de Nouvelle-Calédonie) pour sa présentation « Évaluation de la capacité vectorielle de l’Aedes aegypti de Nouvelle-Calédonie pour différentes souches de virus Zika. »
- Prix de la thèse offrant la meilleure perspective de valorisation économique, sociale ou culturelle :
Noémie Coulombier (ADECAL, Ifremer) pour sa présentation « Évaluation de microalgues sélectionnées en Nouvelle-Calédonie comme source potentielle d’anti-oxydants naturels. »
- Prix du meilleur poster :
Lise Leroy (Institut agronomique néo-calédonien) pour son poster « De l’olfaction à la lutte intégrée : le cas du papillon piqueur de fruit Eudocima phalonia Linné en Nouvelle-Calédonie. »