Dans le cadre de son récent déplacement en Nouvelle-Zélande, la Présidente de l’Université de la Nouvelle-Calédonie, Madame Catherine Ris, a représenté France Universités pour la signature d’un accord avec Universities New Zealand — Te Pōkai Tara, visant à renforcer les échanges académiques et la recherche entre la France et la Nouvelle-Zélande. Cette signature reflète la volonté partagée des universités françaises et néo-zélandaises de promouvoir des partenariats en matière de formation supérieure, de recherche et d’innovation.
Dans le cadre de son récent déplacement en Nouvelle-Zélande, la Présidente de l’Université de la Nouvelle-Calédonie, Madame Catherine Ris, a représenté France Universités pour la signature d’un accord avec Universities New Zealand — Te Pōkai Tara, visant à renforcer les échanges académiques et la recherche entre la France et la Nouvelle-Zélande. Cette signature reflète la volonté partagée des universités françaises et néo-zélandaises de promouvoir des partenariats en matière de formation supérieure, de recherche et d’innovation.
Cet accord renforce considérablement les liens universitaires entre la France et la Nouvelle-Zélande et vise à encourager la mobilité des étudiants, chercheurs et enseignants, tout en facilitant le développement de programmes de recherche conjoints et de diplômes partagés, notamment aux niveaux Master et Doctorat. Il soutient également la mise en place de co-diplomations et de co-tutelles de thèses, renforçant ainsi l’intégration des équipes de recherche des deux pays autour d’axes prioritaires, dont la durabilité, le changement climatique et l’innovation technologique.
La collaboration permettra aux institutions d’enseignement supérieur et de recherche néo-zélandaises d’accéder plus facilement aux programmes européens, notamment Horizon Europe et Erasmus+. Grâce à ces programmes, des financements seront mobilisés pour accroître les échanges de courte durée, tels que les stages, les écoles d’été et les programmes thématiques, afin d’équilibrer les flux de mobilité entre les deux pays. Par ailleurs, France Universités facilitera l’intégration des universités néo-zélandaises à la Maison d’Irène et Frédéric Joliot-Curie, une plateforme scientifique française située à Bruxelles, qui soutient la mise en réseau et la formation à l’échelle européenne.
Un suivi de l’accord sera assuré par une réunion annuelle entre les représentants de France Universités et de Universities New Zealand — Te Pōkai Tara. Cet échange permettra d’évaluer les avancées des projets en cours, d’ajuster les actions selon les besoins, et d’identifier de nouvelles perspectives de coopération.
L’Université de la Nouvelle-Calédonie renforce son partenariat avec l’Université de Canterbury
A l’occasion de ce déplacement en Nouvelle-Zélande pour le compte de France Universités, la présidente de l’UNC Catherine Ris a rencontré e 5 novembre 2024, le professeur émérite Steven Ratuva, membre de la Société royale de Nouvelle-Zélande, vice-recteur chargé des Affaires du Pacifique et directeur du Centre d’études du Pacifique Macmillan Brown à l’Université de Canterbury, accompagné du docteur Graham Wise, directeur des Relations internationales de cette même université. Cette rencontre a permis de renouveler et renforcer les pistes de collaboration entre l’Université de la Nouvelle-Calédonie et l’Université de Canterbury pour le développement de projets académiques et scientifiques communs.
En effet, à cette occasion, l’Université de Nouvelle-Calédonie (UNC) et l’Université de Canterbury (Nouvelle-Zélande) ont renouvelé leur protocole d’accord (Memorandum of Understanding) pour la période 2024-2029 qui vise à promouvoir des collaborations académiques et de recherche à travers des projets conjoints, des échanges d’étudiants et de personnel, et le développement de programmes communs. En s’appuyant sur des initiatives internationales telles qu’Erasmus+ et Horizon Europe, cet accord met l’accent sur la mobilité académique, les stages, et les écoles d’été (Summer schools). Cette signature témoigne de l’engagement de l’UNC à dynamiser son rayonnement régional et à intensifier les développements stratégiques pour répondre aux enjeux régionaux et internationaux de l’enseignement supérieur et de la recherche. Un belle séquence pour continuer de tisser des liens universitaires solides avec nos voisins néo-zélandais.