Vendredi 15 septembre, l’Université de la Nouvelle-Calédonie, en partenariat avec l’ADEME (l’Agence pour la transition écologique), a lancé la Semaine de l’Écomobilité lors d’une matinale d’échanges. Cet événement fut l’occasion pour l’université de renforcer son engagement en faveur du développement durable et de l’écomobilité.
Déjà dotée de vélos à assistance électrique depuis 2020 afin de de réduire les déplacements en voiture de son personnel au sein du campus de Nouville, et de plusieurs champs de panneaux photovoltaïques (amphi 250, RU, Sigma), l’UNC est particulièrement sensibilisée aux enjeux environnementaux, y compris dans son offre de formation, comme en témoigne la création du master en développement durable et changement climatique il y a 2 ans. La recherche à l’université est également mobilisée sur les thématiques de transition, de changement climatique et de résilience avec, entre autres, le projet FALAH sur l’agriculture familiale et les modes de vie en Océanie ; le documentaire Nations of Water sur les enjeux juridiques des migrations climatiques ; ou encore les travaux de notre laboratoire interdisciplinaire de recherche en éducation (LIRE) sur les modes de vie des jeunes en Nouvelle-Calédonie et en Océanie.
C’est donc tout naturellement qu’elle a signé la charte de l’écomobilité, afin de poursuivre ses efforts dans une démarche volontaire de réduction des émissions de CO2, en s’engageant à mettre en œuvre des actions concrètes telles que la mise en place et la promotion du co-voiturage, ou la sensibilisation à l’écomobilité auprès de ses étudiantes, étudiants et personnels. Cet engagement s’inscrit dans une politique globale de développement durable et de responsabilité sociétale et environnementale (DDRSE) de l’UNC portée par son chargé de mission M. Maximilien Mathian, maître de conférences en sciences de l’environnement, dans l’objectif de réduire autant que possible son empreinte environnementale.
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